Une semaine après la noyade d'un garçon de neuf ans, la sixième décès en cinq ans, d'un enfant à Nai Harn à l'étang de Phuket, les familles piqueniqueurs, trouvent aujourd'hui des signes précurseurs et des bouées de protection qui ont été mise en place 

L'action par les autorités locales est venu trop tard pour la mère de Saran Srisongkram, dont le corps sans vie a été tiré de l'écluse entre le lac et l'étang balnéaire le week-end dernier

Hier, elle a visité le lieu, avec des moines pour bénir l'esprit de son fils. 

Le soutient pour la vie du garçon, a été arrêtée à l'hôpital Vachira Phuket à Phuket, où les médecins ont persuadé sa famille qu'il n'allait pas survivre. 

Les enfants à la section de la plage de Nai Harn exigent une constante surveillance d'un adulte et le conseil local de Rawai s'est engagée à fournir un sauveteur à des moments où les familles en vacances sont les plus susceptibles d'être là. 

De nouveaux panneaux ont été érigés qui mettent en garde des dangers en trois langues. 

Les sauveteurs sur les plages de Phuket gardent les plages mais pas ce coin de Nai Harn. 

Dans tous les cas, les 13 plages touristiques les plus populaires de Phuket ne sont plus surveillé en raison d'un différend qui survient presque chaque année lorsque le rôle des sauveteurs est mis en adjudication par l'Organisation Phuket provincial administratif. 

Les gestionnaires du Service des Sauveteurs de Phuket, disent qu'un accord est susceptible de prendre encore plusieurs semaines, laissant éventuellement les plages de Phuket sans surveillance, pendant le début de la saison de la mousson, le moment le plus dangereux de l'année.

article Phuket Wan