Les procureurs préparent le procès des suspects de la bombe
BANGKOK: La police hier (27 octobre) a transmis un rapport d'enquête de 8000 pages pour les attentats de Bangkok d'août, aux procureurs militaires, qui recherchent les actes d'accusation des suspects Bilal Turk et Yusufu Mieraili.
Les enquêteurs sont persuadés que les suspects seront inculpés en raison de preuves solides, a déclaré le chef de la police nationale assistant Srivara Ransibrahmanakulm, ajoutant qu'ils avaient déjà discuté de l'affaire à huis clos avec les procureurs militaires.
Le motif de l'explosion n'a pas été liée aux Ouïghours, a-t-il dit, mais a refusé de donner plus de détails, disant qu'il a été seulement mentionnée en général, dans le rapport.
Le rapport a été divisé en quatre sections pour des infractions présumées qui ont eu lieu dans les territoires de Lumpini, Yannawa, Nong Chok et la police Min Buri.
Les procureurs cherchent à inculper les suspects pour sept infractions différentes, selon le Pol Maj Gen Chayapol Chatchaidet, commandant de la division 6 de la police métropolitaine.
Les charges comprennent: assassinat prémédité, tentative d'assassinat, décision de bombe qui a causé la mort, des blessures et des biens endommagés, dommages intentionnels, possession d'explosifs non autorisés, transport d'explosifs dans un lieu public et possession de matériel militaire sans permis.
Dans l'attentat du sanctuaire d'Erawan le 17 août, 20 personnes ont été tuées et 130 blessées. Personne n'a été blessé dans l'explosion du quai Sathon le lendemain.
M. Karadag aurait reconnu, la pose d'un sac à dos piégé dans le sanctuaire et M. Mieraili aurait avoué l'avoir fait exploser.
Si plus de gens se trouvent être liés aux attentats plus tard, elles seront ajoutées au rapport, le Pol Lt Gen Srivara a dit.
Les deux, qui sont détenus au 11e Cercle militaire, étaient parmi les 17 personnes recherchées en vertu de mandats d'arrêt approuvés par le tribunal militaire de Bangkok.
Le Pol Maj Gen Chayapol a dit que les enquêteurs vont apporter plus tard des accusations contre M. Karadag et M. Mieraili, mais a refusé d'élaborer.
article Bangpost.com