La cour ordonne un nouveau examen de preuves
Le tribunal, de Surat Thani, hier (10 Juillet) a ordonné aux procureurs de travailler avec les enquêteurs pour envoyer tout le reste des preuves médico-légales trouvées sur les lieux du crime, y compris une pelle, pour un nouveau test médico-légal.
Une équipe juridique envoyé par le Conseil des avocats de la Thaïlande, défendent les migrants du Myanmar, Zaw Lin, 22 ans et Win Zaw Htun, 21 ans, chargés de viol et assassinat sur des ressortissants britanniques, Hannah Witheridge, 23 ans, et David Miller, 24 ans, en Septembre de l'année dernière.
L'équipe de la défense a dit qu'il a reçu des rapports de la médecine légale et d'autopsie des autorités britanniques qui étaient "non conformes" aux résultats obtenus par les autorités thaïlandaises. Pendant ce temps, certains médias ont émergé hier en disant que certains éléments de preuve n’était plus disponible.
L’Avocat en chef de la défense Nakhon Chompuchat, a dit que le contre-interrogatoire d'un pathologiste de la police avait été difficile; la police avaient maintenait une autorité sur la question. L'examen d'autres éléments de preuves essentiels, comme l'ADN, devra attendre pour les scientifiques de laboratoire pour en témoigner plus tard, M. Nakhon a dit.
Interrogé sur les revendications des preuves manquantes, le chef de la police nationale, le Pol Gen Somyot Poompunmuang, a déclaré aux journalistes étrangers qui ne maîtrisent pas la langue, qu’ils ne pourraient pas comprendre pleinement la police, quand ils communiquent en thaï.
La Preuve exigeant le test d’ADN est normalement envoyé à l'Institut de médecine légale (IFM) et lorsque les tests sont terminés, les résultats sont enregistrés et une copie est envoyée à la police, a-t-il dit.
Cela expliquerait pourquoi la police n'a plus dû garder les échantillons d'ADN avec eux, a-t-il dit.
Le malentendu à propos de éléments possibles de preuves manquantes est survenu lorsque les avocats de la défense ont demandé de faire ré-examiner les preuves d'ADN par une organisation différente et la police a répondu en disant qu'ils n’avaient plus la preuve, a-t-il dit.
"Tout chercheur donnerait une réponse similaire parce que la preuve est à l'IFM," a déclaré le Gén Somyot.
La BBC a rapporté sur son site Web hier que l’on s’attend à ce que la cour entende ce qui est arrivé par la preuve d'ADN essentiel qui lie les deux accusés du Myanmar avec le corps d'une des victimes.
La police thaïlandaise avaient auparavant déclaré à la BBC comment certains éléments de preuve d'ADN cruciales dans ce cas ne peut pas être testé à nouveau car elle n’existe plus, a dit le rapport.
Le Pol Col Somkiat Kaewmook, chef adjoint de la police provinciale de Surat Thani, a déclaré: "Certains matériaux légistes ont été utilisés dans le processus de test, ce qui signifie qu'ils n’existent pas."
"Mais ceux restant qui sont solides, assez importants, et consignés seront là et nous allons les envoyer à la cour."
Le Gen Somyot a dit que ré-exameniner la preuve d'ADN dans le cas est toujours possible.
article bangkokpost.com