PHUKET : Il est souvent admis que très peu de progrès seront réalisés pour résoudre les problèmes chroniques de Phuket tels que les déchets et les eaux usées. Mais parfois une lueur d’espoir apparaît au bout du tunnel, et ce sont les technologies et les réseaux sociaux qui entretiennent cette lueur et poussent la population à demander aux officiels d’agir.

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Cette semaine une importante expat et activiste environnemental s’est rendu à The Phuket News’ pour chanter les louanges du groupe “Pineapple Eyes” – sur la messagerie Line.

Le groupe “Pineapple Eyes” encourage tous les habitants et expats à rejoindre le groupe et à partager ses photos, accompagnées d’une description détaillée de l’endroit ou sont rejetés des déchets ou des eaux usées.

Tout va donc pour le mieux diraient les cyniques. Sauf que selon cette activiste, elle se trouve débordée par l’efficacité du groupe et la promotion de ses actions de nettoyage.

Membre active du groupe, elle a cité un récent exemple quand elle a publié des photos d’une décharge sauvage débordante d’ordures et infestée de rats à 9h – à midi ce même jour les ouvriers du gouvernement avaient nettoyé ces déchets, lavé le secteur au jet et traité avec un antibactérien liquide, puis publié des photos du résultat sur le groupe “Pineapple Eyes”. Impressionnant.

Le groupe compte maintenant près de 460 membres et grandit jour après jour. Il est important que toutes les personnes qui se sentent concernées par ces problèmes rejoignent le groupe et partagent ses exemples de pollution via l’application. Qui sait, quand le groupe comptera des milliers ou des dizaines de milliers de membres, nous transmettrons ce message aux autorités et pourrons montrer à quel point ces problèmes nuisent à l’image de l'île.

Il ne faut pas s’arrêter là, une pléthore de réseaux sociaux peuvent être utilisés pour faire connaître ces problèmes au niveau provincial, national et international.

Article original : The Phuket News