PHUKET : Alors que les officiels de l'île tentent de convaincre les officiels et touristes chinois que Phuket est une destination sûre avec des inspections de sécurité après la catastrophe du Phoenix, des gens continuent de se noyer sur les plages de la côte ouest de Phuket sans que rien ne soit fait.

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Il est clair que la situation des sauveteurs ne va pas. Malheureusement, rien n’est fait pour changer les choses.

Pour une fois, éloignons un peu ce problème des sauveteurs eux même – qu’ils soient qualifiés ou pas – et portons notre attention sur les abrutis qui continuent à ignorer les drapeaux rouges ou qui se baignent le soir quand les sauveteurs ne sont plus de service.

Seuls eux peuvent expliquer pourquoi ils ignorent les drapeaux rouges ou se baignent la nuit, et les sauveteurs n’y peuvent rien.

Pour être honnête, les sauveteurs n’ont aucun moyen d’action lorsqu’il faut empêcher les gens d’ignorer les drapeaux rouges, tout ce qu’ils peuvent faire est conseiller et informer des dangers, mais même ces conseils sont ignorés.

Peut être que ces abrutis savent que les sauveteurs ne peuvent rien faire pour les empêcher de se baigner.

Peut être viennent ils de pays ou un coup de sifflet ne signifie rien, et il y a beaucoup de pays comme ça.

Et si le pouvoir des sauveteurs ou le pouvoir des sifflets n’arrête pas les gens d’aller se baigner, comment fera Phuket pour réduire le nombre d’incidents de noyade.

Actuellement il y a environ 335,425 membres des Forces Armées Royales Thaïes dans le pays, et disons qu’il y a 25 plages sur la côte ouest. Si les Forces Armées Royales Thaïes pouvaient fournir 30 personnes pour chacune des plages (750), cela ne représenterait qu’un petit pourcentage de leur personnel total.

Cela peut apparaître comme une mesure extrême, mais avec la situation actuelle qui ne s’améliore pas et les baigneurs qui ignorent continuellement les avertissements, cela peut apparaître comme la seule option.

Il est clair que les uniformes rouges et jaunes n’ont pas l’effet escompté sur le public, peut être que des treillis militaires et des armes à la ceinture changeraient les choses.

Article original : The Phuket News